17 décembre 2014
Timbuktu
Film aussi appelé " Le chagrin des oiseaux "
" L'élément déclencheur de ce film, selon le réalisateur Abderrahmane Sissako, a été la lapidation d'un couple d'une trentaine d'années, non-marié "devant Dieu" et ayant eu des enfants, le 22 juillet 2012 à Aguelhok, une petite ville au nord du Mali.
Au-delà du contexte violent dans lequel se situe l'action de son film, Abderrahmane Sissako est loin de tomber dans le misérabilisme et dans le désespoir. Au contraire, le réalisateur nous transmet un message essentiel: la résistance par la poésie. (Rita Maalouf, Le Huffington Post) "
Vu hier en VO.
Face à l'obscurantisme et pour comprendre le monde dans lequel nous vivons, je vous recommande ce film.
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